Lecture de L’Agenda

Categories: Extraits, Sâdhanâ2,8 min read

Douce Mère,

Chaque lecture que je fais n’est jamais anodine pour moi. J’y puise tellement de compréhension et de force. Je vibre à chacun de vos mots et cela me fait grandir en conscience un peu plus à chaque fois.

C’est un véritable processus de transformation !

Depuis un mois (26 fév), j’ai commencé la lecture de L’Agenda, volume 1. Je me doutais que ça allait être intense, je pensais surtout au niveau du vital – vu ce que Satprem et Sujata ont vécu pendant des années pour publier tes précieux témoignages.

Depuis un mois c’est surtout au niveau physique, au niveau du corps et de la matière que c’est remuant.

Dans le corps c’est une grosse fatigue, des douleurs, ma vue qui a baissé, des palpitations, une lombalgie, des insomnies…

J’ai commencé le mois par une envie de boire de l’eau tiède et du citron, la purification avait commencé et le reste s’enchaîne (je parle de tous ces symptômes).

Parfois, je suis embarquée par la peur et la panique, mais je reviens vite en moi et je t’appelle, Douce Mère, ainsi que Sri Aurobindo et je prie.

Je calme mon mental et mon vital qui s’agitent et qui veulent m’amener dans des mouvements inférieurs.

Avec ton aide, Mère, je fais de mon mieux pour rester calme et en paix, pour me reposer et faire grandir ma foi.

Au niveau matériel (financier) aussi ça a eu un impact. Mes ressources se sont arrêtées. Et je suis repartie pour un tour dans la peur du manque, le mental qui veut trouver une solution…

Donc oui, le mois de mars a été très intense.

Mais je sais au plus profond de moi que tout cela est comme une préparation, une renforcement de … mon corps, de ma foi. Une façon de me soumettre encore un peu plus à la Volonté du Seigneur.

Donc je tiens bon et je continue mon oeuvre Divine !

(Le disciple se plaint de ses difficultés)
Les difficultés nous sont envoyées exclusivement pour rendre la réalisation plus parfaite.
Chaque fois que nous essayons de réaliser quelque chose et que nous rencontrons une résistance ou un obstacle, ou même un échec (ce qui paraît être un échec), il faut savoir, ne JAMAIS oublier, que c’est exclusivement, absolument, pour que la réalisation soit plus parfaite.
Alors cette habitude de s’aplatir, de se décourager, ou même d’être mal à l’aise, ou de s’injurier soi-même, ou de se dire: «Voilà, j’ai encore fait une faute…» tout ça, c’est une sottise complète.
Simplement se dire: «Nous ne savons pas, nous, faire les choses comme elles doivent être faites; eh bien, on les fait pour nous, advienne que pourra!» Et si nous pouvions voir à quel point ce qui nous paraît, oui, une difficulté, une faute, un échec, un obstacle, tout cela, c’est juste pour nous aider, afin que la réalisation soit plus parfaite.

Une fois qu’on sait cela, tout devient facile.

L’Agenda – Vol 1

Laisser un commentaire